lundi 29 février 2016

St-Martin et Sint-Maarteen


SAINT-MARTIN

Me voilà rendu sur l’ile mythique de St-Marin, voilà déjà quelques semaines que j'arpente ses plages et et m'ancre dans ses multiples baies aux eaux cristallines. Je connais assez bien le lagon salé pour m'y être pris dans le sable 2 fois jusqu'ici et je dois dire que j'adore cette ile qui me fait sentir près de tout. La bouffe est très bonne, d'ailleurs, j'ai pris quelques livres et je dois sortir le vélo ces jours-ci pour suer un peu!

J'ai visité les iles voisines proches, Anguilla et Saint-Barthélemy. On retrouvera deux articles sur celles-ci.

Durant les deux prochaines semaines, je devrais me rendre à Saba, Saint-Eustache, Saint-Kitts, Nevis Barbuda et peut-être Antigua. À voir, des fois les conditions météo font en sorte que rien ne se réalise...En voilier on est à la merci du vent et de la houle.

Saint-Martin qui constitue la partie nord de l'ile de Saint-Martin et est séparée de la partie hollandaise par une frontière terrestre symbolisée par un mur de pierres sèches construit à partir de 1772. Ce mur bien qu'en très mauvais état est toujours visible. Cette frontière est la seule qu'ait la France avec le Royaume des Pays-Bas. Les Caraïbes baptisées St Maarten 'Soualiga »ou« terre de sel »en référence à d'origine naturelle des marais salants de l'ile.
                                                                                                                                Info de Wikipédia

Histoire de Saint-Martin

Je l'ai raconté un peu avant, mais voici un peu plus de détails puisés ici et là.

La légende raconte que Christophe Colomb découvrit l’île en 1493, cependant, il est beaucoup plus probable que l’île il a repéré de la distance était en fait Nevis.
C'est lors de son retour d'Hispaniola au cours de son deuxième voyage, en passant au large avec sa flotte de 17 navires, entre le 11, jour de la fête de saint Martin de Tours, et le 13 novembre 1493, l'aurait ainsi appelée. Cependant la tradition locale désigne l'ile par deux autres noms en langue caraïbe : « Soualiga » (« l’île au sel ») et « Oualichi » (« l’île aux femmes »).

Saint-Martin est apparue sur une carte en 1516 avec le nom de Sam Mtim et était un territoire espagnol à ce moment.
Les Espagnols appelaient l'ile San Martin, en l'honneur de Saint Martin de Tours, mais ils ne sont jamais colonisés. L’île était inhabitée jusqu'en 1631 quand les Hollandais ont fondé un poste de traite, ils y ont construit Fort Amsterdam et ils ont commencé à récolter le sel des lagunes côtières. 

Simultanément, une poignée de Français se sont aussi installés dans le nord de l’île. En 1633, les Espagnols ont expulsé les Hollandais et construit un deuxième fort. Finalement, en 1644, une expédition néerlandaise dirigée par Peter Stuyvesant (qui est devenu, plus tard, le premier gouverneur de La Nouvelle-Amsterdam) a tenté en vain de reprendre l'ile. Les Espagnols abandonnent l’île en 1648, laissant les Néerlandais et les Français se battre en eux. 

On y signa alors un traité de paix en 1648 , le traité de Concordia qui partagea l’île entre les deux nations, ils ont continuellement été bafoués tout au long du 18e siècle. En fait, Saint-Martin a changé de mains 16 fois entre les Hollandais, les Français et finalement les Anglais qui se disputaient entre eux le contrôle des Caraïbes. La frontière actuelle que l'on connait actuellement entre Saint-Martin et Sint-Maarten a été déterminée définitivement par le traité de Paris 1817.

Au cours des 18e et 19e siècles, l’île était une économie de plantation, la production de sel, d'indigo, de coton, de tabac et bien sûr, le plus important de tous, le sucre, bien que jamais sur l'échelle des autres iles des Caraïbes en raison d'une combinaison de sols pauvres et un manque d'eau douce. L'esclavage a été aboli à Saint-Martin en 1848 et à Saint-Martin en 1863, ceci mit fin à toutes les cultures nécessitant une main-d'oeuvre à rabais. L'économie de l’île est alors entrée en déclin jusqu'en 1939, lorsque Saint-Martin a été déclarée port franc.


Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ont occupé l’île et construit un aérodrome militaire, maintenant le site de l'aéroport Juliana Princesse


Le tourisme tel qu'on le connait présentement a commencé à St-Martin et Sint-Maarten dans les années 1950.

Marigot

En arrivant à St-Martin, Marigot est normalement votre premier pieds à terre.
On y retrouve la capitale de la portion française et tous les services gouvernementaux.
C'est une ville offrant le style européen de la France mélangé avec la Caraïbe créole. 
Les habitants qui sont noirs en majorité parle l'anglais comme langue maternelle, on ne s'attend pas à cela en arrivant ici!

Elle a définitivement un côté unique, on y a conserver ses infrastructures d'époque et aussi sa culture.
Elle doit son nom aux nombreux marécages qui la composait auparavant, comblé afin de diminuer les moustiques et par besoin de terre pour bâtir.

Au 18e siècle, on produisait beaucoup de canne à sucre ici mais avec la fin de l'esclavage, les cultures sont devenues moins intéressantes et surtout moins lucratives. L’île s'est lentement transformée en paradis du commerce puisque la plupart des biens sont offerts ici détaxés. On y retrouve une zone de port franc où les biens peuvent être déchargé sans contrôle douaniers sauf pour les substances illicites. On ne parle plus de paradis fiscal actuellement toutefois, la partie hollandaise a divers acquis à ce niveau.  

Fort Louis

Le fort Louis de Marigot est visible à l'ancrage dans la grande baie de Marigot.
Fort Louis est un fort militaire français construit au xviiie siècle sur les hauteurs de Marigot pour défendre la partie française de l'île de Saint-Martin des attaques ennemies.

Un Peu d'histoire
En 1765, le chevalier Descoudrelles, organise la défense de la petite cité de Marigot en faisant installer trois batteries de canons en trois endroits névralgiques. Une batterie de canon sur la falaise de la pointe Bluff, une autre sur le morne Rond et la troisième sur le morne de Marigot.
En 1789, c'est sous l’impulsion du chevalier de Durat, gouverneur de Saint-Martin et Saint-Barthélemy, que fut construit le fort Louis. Il fut bâti à l’origine pour défendre les entrepôts du port de Marigot où se trouvaient stockés les produits récoltés par les habitants (caféselrhumsucre de canne)1.
Au cours du XIXesiècle le fort fut restauré, mais tomba quelquefois aux mains des Anglais qui venaient depuis l'île d'Anguilla pour piller les entrepôts.
En 1993, des travaux de restauration et de mise en valeur furent entrepris, grâce à l’association archéologique Hope Estate de Saint-Martin, en étroite collaboration avec les unités du service militaire adapté (SMA) de Guadeloupe.
                                                                                                                           Source wikipédia





Vue imprenable de Marigot vue du Fort Louis



On reconnait bien la Marina Fort Louis avec son mur d'acier

Sur ce côté de la baie, on voit Anguilla et la pointe de Grand Case

Anguilla au loin, trop loin pour les canons d'époque






Voila ce qui conquit les premiers colons



Autrefois, on y stockait des munitions


Loterie Farm

Avec regret, je n'ai pas essayé les tyroliennes de Loterie farm qui partent du sommet du Pic Paradis qui a son point culminant à 424 mètres! Loterie Farm est une ancienne mansion qui abritait une ferme dans le temps de l'esclavage et qui a, apparemment réorienter son offre vers a restauration et le divertissement. C'est magnifique!




L'arrivée est ici

Plein de passerelles dans les arbres 


Les tyroliennes pour enfants ici
Le Lagon

C'est le raccourci entre la France et la Hollande!
La première fois qu'on y vient, c'est très impressionnant cette étendue d'eau salée peu profonde.
On y trouve plusieurs épaves abandonnées après le passage des ouragans des dernières années.
Un chenal y a été creusé afin de faciliter le déplacement des embarcations sauf qu'on retrouve maintenant parmi les épaves, le dragueur qui entretenait le passage. On y voit au travers maintenant...
Voici mon ancrage devant le Mt-Fortune, une petite colline d'une centaine de pieds

C'est tranquille dans le lagon parfois


Certain on leur sirène à la proue

Quelqu'un y habite vraiment...

Le nouveau causeway permettant de diminuer les embouteillages




On retrouve la majorité des voiliers ancrés dans la partie française puisque c'est gratuit,
les hollandais, eux, demandent 30$ par semaine pour s'y trouver.

On aperçoit fort bien la frontière!

Grand-Case

Le nom provient de la déformation de l'ancien nom "La grande case"
Il s'agit d'un jolie village accessible par l'eau et la route. La baie est magnifique, mais il est difficile d'y débarquer puisque le quai public est en très mauvaise condition. Les marées et la houle du nord rendent le débarquement très difficile. J'y suis aller trois fois et la troisième fois, ce fut en voiture!







En saison touristique, une association locale y organise une fois semaine, Les mardis de Grand-Case, on y retrouve dans les LOLOS qui sont les divers kiosques de la bouffe locale tel que le fameux poulet boucané cuit sur le BBQ. On y retrouve plein d'artisans et des concerts gratuits de musiciens locaux.
J'ai bien aimé et je vous encourage à y aller un mardi soir!


Les iles, Pinel et Tintamarre


J'ai visité les deux toutefois, Pinel est devenu une attrape touriste avec des navettes faisant le va-et-vient continuellement. Je n’ai pas aimé...

Tintamarre qui signifie eau tinté, il s'agit d'un splendide havre de paix couvert de verdure et entouré de falaises sublimes, en plein océan, l’îlet Tintamarre d'une superficie de près de 100 hectares, est situé environ 2 milles marin au nord-est de Saint-Martin.

Idéal pour jouer les Robinsons Crusoé, puisque désertés de toute vie humaine…sauf les bateaux de plongée pas très courtois et les touristes voileux comme nous.


L'ile est parsemée de sentiers pédestres intéressants permettant de découvrir les ruines d'une vielle ferme ayant exploité le coton au XIXe siècle ainsi que les restes d'une petite voie ferrée, d’un aérodrome.
J'y ai découvert le festival des tortues autour du LiberSea! Des petites têtes sortaient partout autour de moi. Ces magnifiques reptiles me fascinent tellement, pour quoi sont-ils en voie d'extinction...Elles sont tellement innocentes, elles ne mangent que de l'herbe au fond de l'eau!

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On broute de la bonne herbe...Bonne pour elles!

C'est moi ça!

Tortue en vue

La lumiêre
Voici un article que j'ai traduit et réécrit, le fond n'est pas de moi, mais il vaut la peine d'être lu!

Une île de 80 acres qui avait autrefois son propre roi, marine et aérienne. Vrai!

En résumé, l’île de Tintamarre, souvent connu localement comme "Flat Island", a apparemment eu trois périodes d'activité transitoire. Le premier s'est passé au 18e siècle, les Français ont pris l’île alors sous occupation anglaise depuis quelque 40 années. Il y avait, à l'époque environ 150 habitants. Ensuite, puisque St-Martin était autant aux Hollandais qu'aux Français, l’île est devenue la propriété de la famille van Romndt. La phase finale est venue au milieu du XXe siècle, quand Tintamarre annonçait la mise en place du transport aérien dans la région, que nous prenons pour acquis aujourd'hui.

Lorsque les Français ont repris possession de l’île des Anglais, un différend est survenu et surgi à propos de la souveraineté de l’île. L’île appartenait à une succession de personnes de Saint-Kitts). Ils ont résisté à l'effort français pour reprendre possession de l’île. Leur propriété n'a jamais été en doute, mais leur allégeance n'étant pas au roi français ou aux gouvernements qui ont suivi. Il faut se rappeler que St-Martin changeait régulièrement de mains dans cette période à la fin du XVIIIe siècle qui a précédé les guerres napoléoniennes.

Ensuite, il passa à la famille van Romondt. Le premier à venir à Saint-Martin était Diederik Johannes Van Romondt (1781-1849) qui est arrivé d'Amsterdam, Pays-Bas, en 1801.

En raison d'un différend sur les impôts fonciers en 1902, Diederik Christian a pris possession de l’île de Tintamarre, dont il est également propriétaire. Il y a des raisons de croire que Tintamarre était une ile néerlandaise, car il n'a pas été inclus dans le traité de partage original de l’île principale de Saint-Martin en 1648). Ainsi a commencé la période la plus mémorable l’île. On rapporte qu'il régnait en paix dans l'indépendance presque royale. "En fait, un journaliste français a écrit dans le journal de Paris, le 23 août, 1913 sous le titre de« Le Roi de Tintamarre "(Le roi de Tintamarre), c'est donc avec enthousiasme qu'il a reçu de nombreuses lettres de Paris, d'Italie, et aussi d'Allemagne puisque de nombreuses prétendantes ont sollicité un partenariat permanent avec M. Van Romondt pour devenir «reine» de la romance, ainsi que de Tintamarre.

Pour les gens qui travaillent pour lui (la plupart d'entre eux provenaient d'Anguilla), il a institué un magasin général sur l'ile, c'est ainsi qu'en 1913, il a importé 30.000 cents néerlandais, qui ont été distribués parmi les habitants comme monnaie. Cette monnaie était rarement utilisée dans les iles sur le vent et sous le Vent. M. Van Romondt a attribué un taux de change d'un demi-penny à chaque centime de change. Il a également importé 60 à 70 têtes de bétail et environ 540 moutons. Il y cultiva du coton fin et produisit du fromage et du beurre qui ont été sa renommée dans les Antilles. 
En 1931, il a vendu l'ile à un M. Louis Constant Fleming, un marchand et maire de Marigot, et l'année suivante à Mary Fancy.

Il y a beaucoup de rumeurs sur les activités de bateau autour de Tintamarre pendant la Première Guerre mondiale. On parle de la possibilité que les sous-mariniers aient probablement apprécié les plaisirs de l’île, tandis que leurs bateaux ont été ravitaillés. L’île de St-Martin était comme les autres îles françaises dans la région, sous le contrôle du français de Vichy. Les eaux peu profondes autour de Tintamarre ont peut-être permis aux sous-marins de s’asseoir sur le fond sortant le tuba alors que leurs moteurs diesel rechargeaient leurs batteries. Cependant, comme la guerre progressait et que le commerce allié devenait plus stratégique avec les raffineries à Curaçao et Aruba, l'invention du Sonar a pratiquement éliminé la logistique nazie dans la région.

La dernière vague d'activité sur Tintamarre a été décrite par Georges Bourdin, un journaliste français, qui a consacré 30 ans à écrire l'histoire de Saint-Barth. Il a écrit que Rémy de Haenen, qui a l'âge de l'aviation à Saint-Barth en 1945, quelques années plus tôt "avait décidé d'établir sa base aéronavale à Tintamarre, et d'autres ont suivi. En 1946, il a fondé la "Compagnie Aérienne Antillaise"

Bientôt Tintamarre est devenu la base opérationnelle et de maintenance d'une autre compagnie aérienne régionale. Toutefois, CAA Stinson Trimotors volait les tronçons les plus longs entre Puerto Rico et la Guadeloupe, la plupart du temps de Juliana. Ils utilisaient des Sikosky S- 41 surnommés le bateau volant, construit pour PANANAM dans les années 1930, permettait de relier des îles sans aéroports, la Dominique, la Martinique et même jusqu'à Sainte-Lucie. Les départs s’effectuaient de Princess Juliana ou de Tintamarre d'où ils opéraient des petites navettes de passagers entre les bases de Stinson à St Barth ou Anguilla.

Ce fut en bref l'âge d'or de cette petite île au large de Saint-Martin, avec ses 20 habitants. Le 22 mars 1947, lors d'une nuit d'orage, un avion s'est écrasé hors de la piste d'atterrissage tuant ses deux pilotes. L'ouragan de septembre 1950 a finalement mis fin aux vieux avions de la CAA encore sur l’île et dès lors, la nature a repris possession de l’île avec ses broussailles et ses chèvres. Les dernières pistes d'atterrissage ont été détruites par les ouragans de 1956 et 1960.

Lorsque vous visiterez Tintamarre, vous retrouverez des traces de son histoire. Imaginez les Allets et le Paynes, les familles pionnières qui ont produit la chaux et contribuer pacifiquement à l'élevage,   les efforts louables des Français pour établir leur souveraineté sur l’île et la région. 
On y retrouve les ruines des bâtiments et des murs en pierre qui définissent la période agricole de l'emplacement lorsque "M. D.C. "Van Romondt a été idéalisé par les journalistes.
Enfin, vous retrouverez les restes d'un avion sur ce qui était autrefois une piste d'atterrissage active. Maintenant, l’île revient peu à peu à son état naturel.


Histoire par: Andrew Mac Donald

SINT-MAARTEN

La portion sud de l'île indépendante depuis 2010, mais toujours sous contrôle technique de son Alma Mater, la Hollande est vraiment différente de la portion française. Sint-Maarten ne représente que 40% du territoire, toutefois c'est là que se concentre la majorité de la richesse. Disposant d'un climat subtropical, on est vraiment bien ici! Une simple balade dans le lagon, on y retrouve les plus beaux navires.
La langue est principalement l'anglais toutefois, le hollandais, le français, l'espagnol et le créole sont entendus régulièrement dans les rues. Disposant d'une population de 41000 personnes, ce nombre augmente facilement à 100000 avec tous les touristes arpentant ses boulevards.
L'économie de Saint-Martin repose exclusivement sur le tourisme, les nombreux casinos et les banques offshore. Un million de touristes et 400 000 croisiéristes visitent l'île chaque année.

Les principales activités touristiques sont les plages : face aux eaux agitées de l'océan atlantique ou baigné par les eaux calmes de la mer des Caraïbes. Plusieurs de ces plages proposent des restaurants et des activités nautiques.
Pour les amateurs de bronzage intégral, le nudisme n'est toléré que sur la plage de Cupecoy accessible facilement du lagon en annexe. Cette plage est magnifique, je vous encourage à la visiter.

Le sable est fin et chaud

Le littoral offre des sculptures extras

Il y a plusieurs sentiers de randonnées pédestres sur les collines et sur le littoral. On retrouve ici des restaurants de cuisine françaiseantillaise, cuisine internationale, etc.
La prostitution étant légale ici, on retrouve des bordels légaux, des casinos et activités nocturnes (boîtes de nuitcinémas, etc.) Il y a beaucoup de boutiques de grand luxe (habillementbijoux, high-tech, cigaresalcoolsmeubles, etc.) La plupart des grandes marques y sont représentées.
Une des principales activité nautique, la régate Heineken a lieu au début mars à chaque année. Elle attire des voileux de partout dans le monde, suivi par le carnaval de Philipsburg qui se tient au début mai.
Ici on utilise le florin des Antilles néerlandaises (NAf) comme monnaie, la majorité des commerces de la partie hollandaise accepte avec plaisir le dollar US avec lequel a été établi une parité fixe depuis février 2016. Le taux de change avec le dollar américain a été établi depuis cette date à 1 US$ pour 1.79 NAf.

 Philipsburg

Philipsburg est la capitale de Sint-Maarten. Elle est édifiée majoritairement sur une bande de terre séparant la mer d'un grand étang salé.
C'est également ici qu'arrivent les navires de croisière des principales compagnies maritimes.
Un terminal y a été aménagé afin de recevoir les plus gros paquebots.

Pour nous les voileux, la majorité s'ancre près de la Marina Bobby sur le côté est de la baie. Le quai pour les annexes se retrouve derrière la marina dans un petit canal ressemblant à ceux d'Amsterdam.


On y retrouve les plus grandes boutiques de luxe sur la Front Street et les imitations sur la Back Street.

Assez cocasse pour nous, mais cela semble être la réalité!

Simpson Bay


Il s'agit d'une baie très populaire pour les navires de grand luxe et les voileux désirant la facilité de mouvement. Les voiliers dans le lagon doivent composés avec le passage obligé d'un pont côté français à Sandy Ground et et un autre ici à Simpson Bay permettant le passage des mégayachts.

Les couchers de soleil y sont fantastiques

Voici l’éclipse au large.

Quoi dire d'autre que Wow

Le jour se couche pour laisser place à la vie nocturne de Sint-Maarten

On quitte vers le large

Maho Beach
C'est ici qu'on retrouve la fin ou le début, selon l'heure, de la piste de l'Aéroport principal de l’île, Princess Juliana. Il faut venir ici une fois dans sa vie pour vivre son initiation au Jet Blast!











Bien entendu, on retrouve plein d'autres emplacements sur cette îles, j'ai rapporté ceux qui m'ont marqué le plus.

A Bientôt pour mon récit des îles environnantes, St-Barth et Anguilla.